Ce site Web a des limites de navigation. Il est recommandé d'utiliser un navigateur comme Edge, Chrome, Safari ou Firefox.

SOLDES D'ÉTÉ : -30% SUR TOUT LE SITE

Quel probiotique choisir en cas d'infection urinaire ?

Quel probiotique choisir en cas d'infection urinaire ?

Chez Supernutrition.fr, on ne va pas tourner autour du pot : pour soigner une infection urinaire, les probiotiques Lactobacillus rhamnosus GR-1 et L. reuteri RC-14 sont les souches les plus efficaces selon les études !
1 femme sur 2 vivra au moins une cystite au cours de sa vie (source hug.ch). On peut prévenir, soulager, rééquilibrer sa flore intime, naturellement, avec le bon microbiote.


Ce qu’il faut retenir :

  • Les souches L. rhamnosus GR-1 et L. reuteri RC-14 sont les plus documentées pour prévenir et soigner la cystite.

  • Ces probiotiques aident à restaurer une flore intime saine et limitent les récidives.

  • Privilégiez une prise orale en complément alimentaire gastro-résistant pour une efficacité optimale.

  • Un bon probiotique doit contenir suffisamment d’UFC et être adapté à l’écosystème urinaire de la femme.


Le probiotique le plus efficace contre les infections urinaires : la réponse rapide

Allons droit au but : les souches Lactobacillus rhamnosus GR-1 et Lactobacillus reuteri RC-14 sont aujourd’hui les plus documentées pour prévenir et limiter les cystites récidivantes chez la femme.

Elles sont capables de coloniser la flore vaginale et urétrale, et d’empêcher l’adhésion des bactéries comme Escherichia coli, à l’origine de près de 90 % des infections urinaires (Ameli.fr).

Synergie de 5 souches
Cultivées en France (20 milliards d'UFC)
★★★★★ (53 avis)

Chez Supernutrition.fr, nous avons formulé notre Probiotique Flore Intime pour répondre précisément aux besoins des femmes sujettes aux infections urinaires

Il contient :

  • L. rhamnosus GR-1 + L. reuteri RC-14 à 20 milliards d’UFC par gélule

  • Une gélule végétale gastro-résistante

  • Une fabrication 100 % française, sans additifs controversés

Il s’utilise en cure de 1 à 3 mois, idéalement en complément d’un traitement antibiotique ou en prévention après un épisode.

Et si vous vous demandez si d’autres souches peuvent aussi aider en cas de cystite récidivante, voici ce que les études nous apprennent…

Quels probiotiques choisir en cas de cystite ou infection récidivante ?

Quand les cystites deviennent fréquentes, c’est souvent le signe d’un déséquilibre durable de la flore intime. Une bonne souche probiotique peut vous aider à restaurer un environnement protecteur.

Une étude publiée dans Oxford Academic (2011) confirme que certaines souches de lactobacilles agissent de manière ciblée pour restaurer l’équilibre de la flore intime et limiter la prolifération bactérienne pathogène.

Les meilleures souches de probiotiques selon les données cliniques

Souche Action principale Indication recommandée
L. rhamnosus GR-1 Restaure la flore intime, empêche l’adhésion d’E. coli Prévention des récidives
L. reuteri RC-14 Colonise les muqueuses urogénitales, acidifie l’environnement Traitement de fond, post-antibiotique
L. crispatus CTV-05 Produit un biofilm protecteur contre les pathogènes Post-rapport sexuel, après examen gynécologique
L. gasseri Apaise l’inflammation, stabilise le microbiote vaginal Complément en cas de déséquilibre récurrent
L. casei Soutient la flore intestinale et le système immunitaire Soutien général du confort urinaire

Ces souches peuvent être prises seules ou combinées, selon les symptômes et le profil de la femme (jeune, ménopausée, sportive, etc.).

Les souches à éviter pour ce type de troubles

  • L. acidophilus : utile pour le microbiote digestif, pas documenté pour le tractus urinaire

  • Bifidobacterium bifidum : ne colonise pas la flore intime

  • Saccharomyces boulardii : efficace pour les troubles intestinaux, non indiqué en cas de cystite

Pourquoi utiliser des probiotiques en cas d’infection urinaire ?

Quand les infections urinaires deviennent récurrentes, c’est souvent que le microbiote urinaire est déséquilibré. Restaurer cet écosystème, c’est agir directement à la racine du problème.

On parle beaucoup de la flore intestinale, mais le microbiote de la vessie existe aussi. Il est plus fragile, surtout chez la femme, et joue un rôle protecteur contre les bactéries comme Escherichia coli.

Ces bactéries pathogènes remontent souvent l’urètre jusqu’à la vessie. Si la flore intime est affaiblie, elles s’accrochent plus facilement aux parois et déclenchent une inflammation.

Les probiotiques renforcent cette barrière naturelle. Ils agissent comme un “bouclier biologique”, en occupant l’espace et en produisant des substances protectrices comme l’acide lactique.

Après une prise d’antibiotique, la flore vaginale est souvent appauvrie. C’est là que les probiotiques entrent en jeu pour rééquilibrer rapidement l’environnement urinaire.

Comment ça marche, exactement ?

Les probiotiques modulent l’action du système immunitaire local, favorisent la régénération de la muqueuse et empêchent les bactéries indésirables de se fixer.

Certaines souches, comme Lactobacillus crispatus, créent un film protecteur sur la paroi du vagin ou de la vessie, réduisant l’invasion bactérienne.

Cette action locale est soutenue par l’effet systémique des probiotiques sur l’organisme entier, en lien avec la flore intestinale et la régulation du système immunitaire.

Les bénéfices observés avec une cure adaptée

  • Réduction des symptômes (brûlures, mictions douloureuses, envies pressantes)

  • Rétablissement de l’équilibre bactérien de la flore vaginale et urinaire

  • Moins de récidives sur les 6 à 12 mois suivant la cure

  • Meilleure tolérance aux traitements antibiotiques si associés

  • Soutien du système immunitaire local et général

D'après nous, les probiotiques sont une stratégie naturelle et efficace pour soulager l’inconfort urinaire tout en respectant l’équilibre de la flore intime.

Maintenant que vous comprenez leur rôle, voyons quel format choisir (orale ou vaginale) pour une action vraiment ciblée

Quel format de probiotique intime choisir pour une infection urinaire ?

Quand on parle de probiotiques pour la santé urinaire, la voie d’administration change tout. Gélule, voie vaginale ou les deux ? Chaque format a ses avantages selon les symptômes et l’objectif.

Gélule orale : une solution pratique et complète

La gélule par voie orale est la plus utilisée. Elle passe par le système digestif avant d’atteindre le vagin via la migration naturelle des souches.

Ce format est parfait en prévention ou pour rééquilibrer le microbiote urinaire en douceur. Il agit aussi sur la flore intestinale, souvent impliquée dans les récidives.

Ce n'est pas Virginie qui vous dira le contraire après avoir testé notre superbiotique intime :

"Je ne peux plus m'en passer cela m'a soulagée mes infections" - Virginie, cliente supernutrition.fr

Suppositoire ou ovule vaginal : action ciblée et rapide

En cas d’infection urinaire récidivante ou de déséquilibre sévère, la voie vaginale permet une colonisation immédiate du microbiote intime.

Cette solution est souvent recommandée après un traitement antibiotique ou un rapport sexuel si les cystites sont fréquentes.

Son action locale est idéale pour restaurer la flore vaginale après un épisode aigu.

Et le gel local aux probiotiques ?

Une application locale (gel ou crème) contenant des souches lactobacilles peut également soutenir la régénération de la muqueuse vaginale, surtout chez les femmes ménopausées.

Ce type d’utilisation est souvent couplé à une prise orale, pour une action combinée sur les différents microbiotes.

Tableau comparatif des formats

Format Avantages Idéal pour…
Gélule orale Pratique, complète, favorise la migration Prévention, rééquilibrage général
Ovule ou suppositoire vaginal Ciblé, rapide, local Post-antibiotique, post-rapport, flore appauvrie
Gel local Apaise la muqueuse, hydratant Ménopause, sécheresse, confort vaginal

Comment prévenir les infections urinaires ?

Les infections urinaires à répétition, ça peut vraiment gâcher le quotidien. Heureusement, quelques habitudes simples peuvent faire une vraie différence sur la fréquence et la récidive des cystites.

L’hydratation reste la base

Boire 1,5 à 2 litres d’eau par jour favorise le nettoyage naturel des voies urinaires. Chaque miction aide à éliminer les bactéries avant qu’elles ne s’installent dans la vessie.

Uriner au bon moment

Retenir ses urines trop longtemps augmente le risque d’infection. Il est aussi recommandé d’uriner après un rapport sexuel pour limiter la migration de bactéries vers l’urètre.

Une hygiène intime douce et adaptée

L’excès d’hygiène est contre-productif. Un nettoyage quotidien à l’eau tiède ou avec un soin sans savon respecte la flore intime. Évitez les douches vaginales, trop agressives.

Préférez les vêtements respirants

Les tissus synthétiques favorisent l’humidité. Optez pour des sous-vêtements en coton et évitez les jeans trop serrés pour laisser respirer votre flore vaginale.

Attention aux produits parfumés

Gels douche, lingettes ou protège-slips parfumés perturbent la flore intime. Chez Supernutrition.fr, on vous conseille de rester simple et neutre côté hygiène.

Consultez si les cystites sont fréquentes

Si vous avez plus de 3 infections urinaires par an, pensez à consulter un professionnel de la santé. Un examen cytobactériologique des urines peut aider à identifier la cause.

Quels aliments pour soutenir la santé urinaire ?

L’alimentation joue aussi un rôle dans la prévention. Certains aliments riches en antioxydants et en eau favorisent la santé urinaire et réduisent le risque de récidive.

La canneberge, votre alliée anti-E. coli

La canneberge (ou cranberry) contient des proanthocyanidines qui limitent l’adhésion des bactéries à la paroi de la vessie. Préférez-la sans sucre ajouté, en jus ou complément.

 Les aliments acidifiants

Un environnement légèrement acide dans les urines freine la croissance bactérienne. Agrumes, ananas, vinaigre de cidre peuvent être des alliés s’ils sont bien tolérés.

Des fibres pour un intestin en forme

Un microbiote intestinal équilibré participe à la régulation du microbiote urinaire. Misez sur les fibres (légumes, fruits, céréales complètes) pour soutenir la flore digestive.

Des aliments riches en oméga-3

Les oméga-3 (poissons gras, graines de lin) ont un effet anti-inflammatoire reconnu. Ils peuvent aider à réduire les symptômes d’une cystite ou à calmer l’inconfort urinaire.

Alcool, sucre et plats trop salés : à limiter

Ces aliments augmentent l’inflammation de la vessie et favorisent la prolifération bactérienne. En période sensible, adoptez un régime alimentaire léger et hydratant.

FAQ – Tout ce qu’on n’a pas encore abordé sur les probiotiques et les infections urinaires

Voici les réponses aux questions les plus fréquentes que vous nous posez chez Supernutrition.fr. Parce qu’on sait que face à une infection urinaire, vous voulez des réponses claires, utiles et sans détour.

Peut-on prendre un probiotique en même temps qu’un antibiotique ?

Oui, mais pas à la même heure. Laissez 2 à 3 heures d’écart entre l’antibiotique et la prise de votre complément alimentaire probiotique pour éviter que l’un n’annule l’effet de l’autre.

Les probiotiques sont-ils adaptés aux jeunes filles ?

Certains probiotiques sont formulés pour les femmes dès l’adolescence. En cas de cystite chez une jeune fille, il vaut mieux demander l’avis d’un professionnel de la santé avant toute prise.

Peut-on prendre un probiotique en cas de grossesse ?

Oui, sous réserve que le produit soit compatible grossesse. Les probiotiques agissent localement sur la flore intime sans traverser la barrière placentaire. Demandez conseil à votre professionnel de santé.

Combien de temps faut-il pour ressentir les effets ?

Les premiers effets se ressentent souvent au bout de 10 à 15 jours, selon les souches et l’état du microbiote urinaire. Pour un effet durable, une cure de 1 à 3 mois est généralement préconisée.

Le jus de canneberge suffit-il à prévenir les cystites ?

La canneberge aide à réduire l’adhésion des bactéries à la vessie, mais n’agit pas sur la flore intime. Combinée à un probiotique, c’est une stratégie naturelle plus complète pour la santé urinaire.

Faut-il faire une analyse avant de commencer une cure ?

Pas forcément. Si les infections sont récurrentes, une analyse d’urine (ECBU) peut être utile pour identifier la bactérie responsable. Sinon, une cure de probiotiques peut être tentée sans risque.

👉 Vous avez une autre question ? Écrivez-nous directement depuis la page contact Supernutrition.fr.

Dans la même thématique, nous vous recommandons :

Sources : 

  • https://www.hug.ch/sites/interhug/files/structures/medecine_de_premier_recours/documents/infos_soignants/infections_urinaires_arce.pdf
  • https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/cystite/reconnaitre-cystite
  • https://academic.oup.com/cid/article-abstract/52/10/1212/478332
Photo de Sacha Cohadon

Sacha Cohadon

Président de SuperNutrition.fr, Sacha décrypte la santé naturelle avec rigueur et pédagogie. Il s’appuie sur des études scientifiques récentes et des échanges avec des experts pour offrir un contenu fiable, pratique et adapté à tous ceux qui souhaitent mieux comprendre les bienfaits de la micronutrition.

Vérifié par Florian de Monde de la Santé

Laissez un commentaire

Veuillez noter que les commentaires doivent être approvés avant d'être affichés